ARTE

Le feuilleton : la route du blues, 2e volet, épisode 1, C'est ce soir sur France5 à 20H35 rediff demain à 10h55
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http://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/r4976-echappees-belles/2112451-saint-petersbourg/
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hier soir, un très bon documentaire sur l'après tcherobyl dans la zone interdite :


Vingt-quatre ans après l'explosion du réacteur n°4, le 26 avril 1986, la zone interdite, instaurée dans un rayon d'une trentaine de kilomètres autour de la centrale nucléaire, offre la vision idyllique et paradoxale d'une nature préservée des ravages de la civilisation. Ce territoire où les radionucléides se sont dispersés irrégulièrement, avec l'explosion et l'incendie qui a suivi, est aussi devenu un vaste laboratoire à ciel ouvert, où les scientifiques étudient sur le long terme, en situation réelle, les effets de la radioactivité de faible dose sur les organismes vivants. Pourquoi certains organismes meurent-ils prématurément, pourquoi la croissance des pins est-elle perturbée, alors que mulots et peupliers semblent en pleine santé ?

Documentaire de Luc Riolon (France, 2009). 95 mn. Inédit.

Le 26 avril 1986, l'explosion du réacteur numéro 4 de Tchernobyl propulsait dans l'atmosphère des milliards de particules radioactives. Plus de deux décennies après la catastrophe, à quoi ressemble la « zone interdite », cette enclave de 30 kilomètres carrés autour de la centrale ? Etonnamment, la nature, luxuriante, s'y s'épanouit librement, et de nombreuses espèces animales - dont certaines extrêmement rares - prolifèrent. Comme expliquer que les mulots ne subissent aucune mutation ? Pourquoi certains arbres survivent-ils alors que d'autres meurent ? Véritable laboratoire naturel, le site est devenu le terrain d'observation privilégié de scientifiques du monde entier, venus étudier les effets à long terme de la radioactivité.

Nourris de nombreuses expertises en situation, d'images superbes et de schémas en 3D, le film met en lumière les mécanismes naturels de défense développés par certains organismes, attire notre attention sur les fascinantes capacités d'adaptation de la nature, tente, sans toujours y parvenir, d'en percer les mystères. Parfois un tantinet technique, cette épopée, filmée sur près de un an, a quelque chose d'envoûtant dans sa manière de mettre en scène l'énigme fondamentale du vivant, la beauté post-apocalyptique d'un monde où la nature, abandonnée à son sort, envahit jusqu'aux HLM de la ville fantôme de Pripiat... Le film s'achève d'ailleurs sur ce constat ironique : la bonne santé de l'écosystème doit beaucoup à la disparition de l'homme dans la zone.

Hélène Marzolf

Télérama, Samedi 22 mai 2010



Rediffusions :
Jeudi 27 mai 2010 : ARTE 10h40
Mardi 1 juin 2010 : TEMPO POLYNÉSIE 22h30
Mardi 1 juin 2010 : TEMPO GUADELOUPE 22h45
Mercredi 2 juin 2010 : TEMPO RÉUNION 23h47

A revoir aussi sur le site d'Arte LA

Ha ben justement je pensais le regarder et je l'ai loupé, heureusement il y à les redifs...

j'ai regardé et c'était très intéressant cette façon de s'adapter facilement pour certains animaux et pas du tout pour d'autres

ce soir sur arte : la police et sarko :

Documentaire de Jean-Michel Décugis et François Bordes (France, 2010). 45 mn. Inédit.

Les bleus ont le blues. Le malaise est palpable sous les uniformes, à en croire le journaliste Jean-Michel Décugis, parti recueillir leurs doléances. En mars 2010, lors des obsèques de l'un des leurs tué par l'ETA, une douzaine de policiers ont tourné le dos à Nicolas Sarkozy, venu prononcer un discours d'hommage. Symbolique affront au premier flic de France, dont on pensait que les discours musclés lui assuraient la confiance des forces de l'ordre. Ceux qui prennent ici la parole - à visage couvert - disent se sentir « lâchés », pris en tenailles entre une radicalisation de la violence dans les quartiers sensibles depuis les émeutes de 2005, une hiérarchie qui les soutient de moins en moins et le sentiment d'être les mal-aimés de la population.

Le film se place du point de vue des policiers, dont il écoute le ras-le-bol, le sentiment d'impuissance, la peur, les traumas vécus sur le terrain. L'autocritique est plus succincte - «oui, il y a aussi des provocations du côté des flics », reconnaît une jeune policière. De ces témoignages se dégage le sentiment d'une rupture consommée - « nous aussi, on a la haine » dit l'un d'eux - avec la population des cités. Quartiers où le gros des forces de l'ordre est, curieusement, constitué de policiers débutants - 80 % des nouveaux gardiens de la paix atterrissent en banlieue parisienne. « A l'école, explique une jeune femme flic, à aucun moment on n'est préparés à voir toute cette misère, toute cette détresse des gens. » Intéressante piste de réflexion dans un film qui fait le constat d'un fossé grandissant mais n'aborde pas la question de la suppression de la police de proximité, en 2003, par le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy.

Virginie Félix

Télérama, Samedi 5 juin 2010


A noter qu'un autre flic seine et marnais s'est fait descendre cette hiver. c'était un flic de Chessy qui s'est littéralement fait envoyé en l'air par ces voyous en 4x4 qui s'enfuyaient après avoir essayer de cambrioler un pavillon.

le discours de la cérémonie, qui a réuni plusieurs centaines de policiers de France et de Navarre, ça a été : ils seront sévèrement punis !

après enquête, il s'avère qu'ils s'agissaient de gens du voyage, basés sur une petite commune pas très loin.


Il va sans dire qu'ils courent toujours !

Sur ARTE en ce moment c'est: 1967, été de l'amour - Spirituality
A voir et à revoir...
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http://www.programme-tv.com/recherche-diffusions-serie/413/0/1967%252C%2B%25E9t%25E9%2Bde%2Bl%2527amour.html
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Élargir sa conscience et explorer ses sens étaient des concepts centraux chez les hippies au milieu des années 1960. À Woodstock, il n'était pas rare de voir les hippies faire leurs exercices de Hatha yoga. Le mantra «Om» résonnait un peu partout ; les sonorités venues d'Inde envoûtaient les esprits, et le public chantait «Hare Krishna» dans la rue. Jamais la recherche de la spiritualité n'avait été aussi forte. Quelle place occupe la spiritualité dans la musique...

apparemment, les doc de fin de journée ont l'air de repartir.

a suivre donc sur arte

Le programme de cet été " Summer of the 60's"
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http://www.arte.tv/fr/3270594.html
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Il faut cliquez sur chaque date pour avoir le programme complet.

comme d'hab une excellente programmation avec des super docs

je vais regarder au moins le 8 juillet : il y a un doc sur le festival de Newport, avec un peu de chance on va voir quelques blueseux

et ce soir :

20h 40 – 22h 50: Les Blues Brothers

Jake et Elwood Blues veulent reformer leur groupe de rhythm'n blues et donner des concerts afin de gagner les 5000 dollars nécessaires à la survie de l'orphelinat de leur enfance, menacé de fermeture par le fisc. Leur projet s'annonce difficile à réaliser. Poursuivis par la police, une bande de néonazis, des musiciens et une femme mystérieuse animée d'une rancune tenace, les Blues Brothers se trouvent mêlés à des aventures plus rocambolesques les unes que les autres. Grâce à leurs facéties, ils parviennent toujours à s'en sortir sans trop de problèmes. Mais les catastrophes pleuvent de tous côtés et les voilà bientôt submergés par les événements qui s'accumulent...

Je viens de voir dans mon programme que EASY RIDER est programmé le Dimanche 18 juillet à 20h40 sur arte

Ben tu sais, je l'ai déjà vu au cinoche, j'avais la cassette et maintenant le dvd alors, à part une communion avec tous les français qui vont le regarder, pourrait faire des efforts à la télé pour passer des trucs inédits.

mon pÔv' Kebra...
aujourd'hui, ça n'existe plus les trucs inédits avec internet...

mosquito69 a écrit:Je viens de voir dans mon programme que EASY RIDER est programmé le Dimanche 18 juillet à 20h40 sur arte

encore

mosquito69 a écrit:mon pÔv' Kebra...
aujourd'hui, ça n'existe plus les trucs inédits avec internet...

Ha oui et ce film de 1960 tu le connais ? Passé une fois à la télè à 3h du matin dans le cadre d'une soirée spéciale ciné club il y a au moins trente ans, et depuis jamais. http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Trou

Non ça me dis rien....

Ce que je voulais dire c'est que même si un film ou un documentaire ne passe jamais à la télé pour divers raison, on peut le trouver sur internet....
Et heureusement parce que par les temps qui cours, la censure à la télé à de beaux jours devant elle...

+ 1 francois

concernant le trou, je crois que tu te trompes VD, je l'ai vu plusieurs fois a la télé, mais c'est aussi vrai que c'était encore à l'époque du noir et blanc

ce soir, n'oublie pas francois, c'est le film culte qu'on a vu plusieurs fois depuis le début de l'année

Film de Dennis Hopper (USA, 1969). Scénario : Peter Fonda, D. Hopper et Terry Southern. 95 mn. VF. Avec Peter Fonda : Captain America. Dennis Hopper : Billy. Jack Nicholson : George Hanson.

Genre : road-movie déroutant.

Deux jeunes gens quittent Los Angeles pour assister au carnaval de La Nouvelle-Orléans. Ils enfourchent leurs motos et entament une longue odyssée à travers les Etats-Unis. Les rencontres se succèdent...

Filmé avec deux bouts de ficelle, Easy Rider connut à sa sortie un succès phénoménal. Film d'une génération, entre flower power et contestation dure, road-movie baigné de musique pop, sa réputation n'a cessé de grandir.

Certains aspects ont pourtant vieilli : rousseauisme naïf du camp de hippies, discours anar un peu simplet... Le meilleur d'Easy Rider, lente geste poétique et sinueuse sur le bitume des années 60, réside dans sa singulière violence : trip au LSD dans un cimetière, expédition meurtrière contre les « vagabonds » à cheveux longs.

Dennis Hopper (décédé en mai dernier) et Peter Fonda instillent l'angoisse comme un subtil venin, étouffant le rêve de liberté et d'évasion. Ils livrent une critique virulente de l'Amérique moyenne, normative, puritaine et mortifère. Profondément pessimiste, déroutant et envoûtant dans sa forme, Easy Rider est un vrai film d'auteur et, sous ses rides, reste étrangement d'actualité.

Cécile Mury (de télérama)

Oui oui je l'ai regardé, il à pas changé...

Baf, je me suis toujours inspiré de ce film, mais là c'est trop, en 2010 à l'époque de la mondialisation............les hippies qui sèment du blé et y vont de leur petite prière..................c'était une belle idée........c'est tout.

Ce soir sur ARTE il y à " Le Prisonnier"
Série " mythique " parait-il...
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http://www.programme-tv.net/programme/series-tv/r14044-le-prisonnier/1-arte-2010-07-24.html
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J'en ai beaucoup entendu parlé... " Je ne suis pas un numéro.." mais j'ai jamais vu..
Je vais donc " jeter un oeil"...

Et vous..? vous avez déjà vu des épisodes..?

c'est nul ce truc !

j'avais regardé quelques épisodes dans le temps, et j'ai jamais rien compris

jamais accroché non plus à cette série

Ha ben oui dites donc c'est très étrange cette série,
Patrick McGoohan est un grand speedé, il bouge très bizarrement...?
Il m'as donné mal à la tête ce con, j'ai zappé avant la fin du premier épisode...

J'ai revu les trois premiers épisodes, c'est génial de se dire que des mecs ont pu faire une série, complètement allumée, décalée avec des références à 1984, Le Meilleur Des Mondes, Kafka.....
Mc Goohan fait exploser les stérotypes de l'agent secret type James Bond.
Peu d'action , tout se passe dans la psychologie...... et finalement....plus la série avance moins on comprend....l'épisode final (le17) étant particulièrement gratiné.