JEFF BECK OLYMPIA 11/10/2010
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JEFF BECK OLYMPIA 11/10/2010
L’Olympia est plein comme un oeuf, pour le retour du guitariste prodige, El Becko en personne.
La section rythmique est différente de celle de Montreux en 2009, Vinnie Colaiuta aux drums, et la jeune Tal Wilkenfeld ont été remplacés par Michael Walden, et Rhonda Smith, Jason Rebello restant derrières ses claviers.
Ces changements modifient la musique jouée beaucoup plus funk, moins jazzy surtout, avec une forte présence de Rhoda qui chante également sur un ou deux titres.
Le set est court 1h30, Michael Walden porte un gant de protection à sa main gauche, ce qui ne l’empêche pas de cogner sur ses tambours, quelques chansons du nouveau CD, Corpus Christi Carol évoquant une pièce de musique classique, et bien sur les morceaux classiques avec A Day in the Life en final.
Ma Belle, qui est une spécialiste de Beck, estime qu’il a fait «moins de Jeff Beck que d’habitude» et qu’il déstructure le blues pour mieux en ressortir sa pureté originelle.
Comme d’habitude Beck joue sans trop se servir de ses pédales d’effets, et pour le rappel, sortira une Lee Paul pour en fêter le 95èeme anniversaire
Guitariste hors norme, avec de multiples influences digérées, Beck occupe une place à part au panthéon des grands guitaristes.
On peut regretter, comparé à Montreux, moins d’improvisations pour laisser la place à un set plus reserré, plus musclé, mais cela reste du très haut de gamme !
Hillbilly Moon Explosion, en première partie a présenté un set tonique, rappelant que Beck a tâté du rockabilly avec son CD Jeff Beck & The Big Town Playboys - Crazy Legs ;
La bonne nouvelle, est que nous serons au Royal Albert Hall le 26/10
La section rythmique est différente de celle de Montreux en 2009, Vinnie Colaiuta aux drums, et la jeune Tal Wilkenfeld ont été remplacés par Michael Walden, et Rhonda Smith, Jason Rebello restant derrières ses claviers.
Ces changements modifient la musique jouée beaucoup plus funk, moins jazzy surtout, avec une forte présence de Rhoda qui chante également sur un ou deux titres.
Le set est court 1h30, Michael Walden porte un gant de protection à sa main gauche, ce qui ne l’empêche pas de cogner sur ses tambours, quelques chansons du nouveau CD, Corpus Christi Carol évoquant une pièce de musique classique, et bien sur les morceaux classiques avec A Day in the Life en final.
Ma Belle, qui est une spécialiste de Beck, estime qu’il a fait «moins de Jeff Beck que d’habitude» et qu’il déstructure le blues pour mieux en ressortir sa pureté originelle.
Comme d’habitude Beck joue sans trop se servir de ses pédales d’effets, et pour le rappel, sortira une Lee Paul pour en fêter le 95èeme anniversaire
Guitariste hors norme, avec de multiples influences digérées, Beck occupe une place à part au panthéon des grands guitaristes.
On peut regretter, comparé à Montreux, moins d’improvisations pour laisser la place à un set plus reserré, plus musclé, mais cela reste du très haut de gamme !
Hillbilly Moon Explosion, en première partie a présenté un set tonique, rappelant que Beck a tâté du rockabilly avec son CD Jeff Beck & The Big Town Playboys - Crazy Legs ;
La bonne nouvelle, est que nous serons au Royal Albert Hall le 26/10
Re: JEFF BECK OLYMPIA 11/10/2010
un lien qu'on vient de m'envoyer :
http://jazz.blogs.liberation.fr/pfeiffer/2010/10/non-jeff-beck-tes-pas-tout-seul.html
http://jazz.blogs.liberation.fr/pfeiffer/2010/10/non-jeff-beck-tes-pas-tout-seul.html
Re: JEFF BECK OLYMPIA 11/10/2010
Petit résumé du show du 26/10 à Londres
Compliqué le Royal Albert Hall !
Door 12 pour récupérer les billets achetés sur Internet.
La gentille dame nous propose de monter au 4ème pour boire un verre en attendant l'ouverture de la salle.
Sympa le bar, vu l'évènement, vu le lieu, on se dit qu'une demie-bouteille de Moët et Chandon ne peut pas faire de mal.
Le serveur indien nous sort deux gobelets en plastique, non, on est français ! on boit dans des flutes en verre, yes sir, celles là, juste derrière.
C'est pas possible, car si on emmène les verres et que nous les balançons sur la scène...
Mais on reste là, on le boit là !
Ma Belle qui a le sens de la formule et qui aime le champagne, prend d'autorité la bouteille, et les verres et on s'installe au bar.
On descend au rez de chaussée pour les places, ah non c'est au 4ème.
On commence à connaître les escaliers....mais au 4ème, une autre gentille dame nous propose d'échanger les billets contre ceux situés dans l'arène (la fosse).
8ème rang face à la scène, tu parles que nous disons oui.
On redescend, et paf on se trompe d'entrée !
Ouf après une nouvelle promenade dans les coulisses on peut s'installer !
Allez musique !
The Baseballs, groupe allemand de rockabilly (Jeff promotionne ce genre après Paris) ouvre le show, vivifiant, plien d'humour, dansant, sympa...
Et Jeff BECK, avec son groupe, plus un orchestre symphonique le British Philharmonic Orchestra, Imelda May, Olivia Safe et Sharon Corr.
Le show est donc différent de celui de Paris, mais je confirme que le grand orchestre n'apporte pas grand chose à la musique, on sent que Jeff se fait plaisir, au détriment de l'improvisation, un orchestre classique jouant la partition.
Par contre, confirmation que la section rythmique est fabuleuse, Michael Walden est époustouflant de puissance et de feeling et Rhonda Smith possède un feeling incroyable.
Pour les invitées, Elegy For Dunkirk avec Olivia Safe est un peu fade, Mná na hÉireann avec Sharon Corr dans une jolie robe était plutôt réussie, mais le meilleur fut le rappel avec Imelda May, qui outre une superbe voix, possède une présence scénique excellente, ce qui manque au groupe, car Jeff est toujours aussi discret.
Le meilleur reste toutefois les morceaux classiques quand le quatuor envoie la sauce, le grand frisson, à peine deux heures de show mais une puissance supérieure à l'Olympia, même si le public anglais reste (trop) sage.
Compliqué le Royal Albert Hall !
Door 12 pour récupérer les billets achetés sur Internet.
La gentille dame nous propose de monter au 4ème pour boire un verre en attendant l'ouverture de la salle.
Sympa le bar, vu l'évènement, vu le lieu, on se dit qu'une demie-bouteille de Moët et Chandon ne peut pas faire de mal.
Le serveur indien nous sort deux gobelets en plastique, non, on est français ! on boit dans des flutes en verre, yes sir, celles là, juste derrière.
C'est pas possible, car si on emmène les verres et que nous les balançons sur la scène...
Mais on reste là, on le boit là !
Ma Belle qui a le sens de la formule et qui aime le champagne, prend d'autorité la bouteille, et les verres et on s'installe au bar.
On descend au rez de chaussée pour les places, ah non c'est au 4ème.
On commence à connaître les escaliers....mais au 4ème, une autre gentille dame nous propose d'échanger les billets contre ceux situés dans l'arène (la fosse).
8ème rang face à la scène, tu parles que nous disons oui.
On redescend, et paf on se trompe d'entrée !
Ouf après une nouvelle promenade dans les coulisses on peut s'installer !
Allez musique !
The Baseballs, groupe allemand de rockabilly (Jeff promotionne ce genre après Paris) ouvre le show, vivifiant, plien d'humour, dansant, sympa...
Et Jeff BECK, avec son groupe, plus un orchestre symphonique le British Philharmonic Orchestra, Imelda May, Olivia Safe et Sharon Corr.
Le show est donc différent de celui de Paris, mais je confirme que le grand orchestre n'apporte pas grand chose à la musique, on sent que Jeff se fait plaisir, au détriment de l'improvisation, un orchestre classique jouant la partition.
Par contre, confirmation que la section rythmique est fabuleuse, Michael Walden est époustouflant de puissance et de feeling et Rhonda Smith possède un feeling incroyable.
Pour les invitées, Elegy For Dunkirk avec Olivia Safe est un peu fade, Mná na hÉireann avec Sharon Corr dans une jolie robe était plutôt réussie, mais le meilleur fut le rappel avec Imelda May, qui outre une superbe voix, possède une présence scénique excellente, ce qui manque au groupe, car Jeff est toujours aussi discret.
Le meilleur reste toutefois les morceaux classiques quand le quatuor envoie la sauce, le grand frisson, à peine deux heures de show mais une puissance supérieure à l'Olympia, même si le public anglais reste (trop) sage.
L'Expérience...
L"'Expérience c'est comme la balance; c'est vachly équitable aux confins d'un refrain affable." (La Louve 2006).BAYOU a écrit:Petit résumé du show du 26/10 à Londres
Compliqué le Royal Albert Hall !
Door 12 pour récupérer les billets achetés sur Internet.
La gentille dame nous propose de monter au 4ème pour boire un verre en attendant l'ouverture de la salle.
Sympa le bar, vu l'évènement, vu le lieu, on se dit qu'une demie-bouteille de Moët et Chandon ne peut pas faire de mal.
Le serveur indien nous sort deux gobelets en plastique, non, on est français ! on boit dans des flutes en verre, yes sir, celles là, juste derrière.
C'est pas possible, car si on emmène les verres et que nous les balançons sur la scène...
Mais on reste là, on le boit là !
Ma Belle qui a le sens de la formule et qui aime le champagne, prend d'autorité la bouteille, et les verres et on s'installe au bar.
On descend au rez de chaussée pour les places, ah non c'est au 4ème.
On commence à connaître les escaliers....mais au 4ème, une autre gentille dame nous propose d'échanger les billets contre ceux situés dans l'arène (la fosse).
8ème rang face à la scène, tu parles que nous disons oui.
On redescend, et paf on se trompe d'entrée !
Ouf après une nouvelle promenade dans les coulisses on peut s'installer !
Allez musique !
The Baseballs, groupe allemand de rockabilly (Jeff promotionne ce genre après Paris) ouvre le show, vivifiant, plien d'humour, dansant, sympa...
Et Jeff BECK, avec son groupe, plus un orchestre symphonique le British Philharmonic Orchestra, Imelda May, Olivia Safe et Sharon Corr.
Le show est donc différent de celui de Paris, mais je confirme que le grand orchestre n'apporte pas grand chose à la musique, on sent que Jeff se fait plaisir, au détriment de l'improvisation, un orchestre classique jouant la partition.
Par contre, confirmation que la section rythmique est fabuleuse, Michael Walden est époustouflant de puissance et de feeling et Rhonda Smith possède un feeling incroyable.
Pour les invitées, Elegy For Dunkirk avec Olivia Safe est un peu fade, Mná na hÉireann avec Sharon Corr dans une jolie robe était plutôt réussie, mais le meilleur fut le rappel avec Imelda May, qui outre une superbe voix, possède une présence scénique excellente, ce qui manque au groupe, car Jeff est toujours aussi discret.
Le meilleur reste toutefois les morceaux classiques quand le quatuor envoie la sauce, le grand frisson, à peine deux heures de show mais une puissance supérieure à l'Olympia, même si le public anglais reste (trop) sage.
Yeah! Thanks a lot! Merci Bayou pour tes élucubrations spontanées et aussi de ta joyeuse présentation du célèbre Royal Albert Hall
Fort heureusement, ton sens de l'humour a su dépasser voire contrer tous les évènements malencontreux antérieurs à ce diantre de concert fort bien détaillé idem by you
Thanks a lot again Man et mes salutations distinguées à ta Belle qui s'avère de toute évidence une Femme de caractère; prends en bien soin elle a l'honneur au mérite d'être accompagnée d'un gars comme toi!
Yes!!!!!! Musica!
Jeff Royal Albert Hall - 26/10/10 - Photo anonyme
Voilà pour nos assidus de lecteurs-auditeurs:
Jeff Beck Albert Hall 26th October 2010 - Ceci n'égale en rien the majestueux Royal Albert Hall's sound but it's better than nothin' and very well done for us
Jeff Beck Royal Albert Hall 26.10.2010
Voilà ma préférée de jouissance musicale à moi qui suit...
Yes!! La wonderful creation de Les Paul and Mary Ford des années cinquante et un: How High the Moon plus qu'excellente d'interprétation d'Imelda !!!!!!!!!! Undeniable this lady's got a beautiful voice and the wild and sweet rhythm with this jewel so damn swell! Pour Jeff alors tout est magically riffs et le rhythm a juste à se bien tenir et frémir avec soupirs pour nous faire jouir! Yeah! Les Paul and Mary Ford en sont vachly fiers; I'm positive where ever they are dans cet au-delà!
Fort heureusement, ton sens de l'humour a su dépasser voire contrer tous les évènements malencontreux antérieurs à ce diantre de concert fort bien détaillé idem by you
Thanks a lot again Man et mes salutations distinguées à ta Belle qui s'avère de toute évidence une Femme de caractère; prends en bien soin elle a l'honneur au mérite d'être accompagnée d'un gars comme toi!
Yes!!!!!! Musica!
Jeff Royal Albert Hall - 26/10/10 - Photo anonyme
Voilà pour nos assidus de lecteurs-auditeurs:
Jeff Beck Albert Hall 26th October 2010 - Ceci n'égale en rien the majestueux Royal Albert Hall's sound but it's better than nothin' and very well done for us
Jeff Beck Royal Albert Hall 26.10.2010
Voilà ma préférée de jouissance musicale à moi qui suit...
Yes!! La wonderful creation de Les Paul and Mary Ford des années cinquante et un: How High the Moon plus qu'excellente d'interprétation d'Imelda !!!!!!!!!! Undeniable this lady's got a beautiful voice and the wild and sweet rhythm with this jewel so damn swell! Pour Jeff alors tout est magically riffs et le rhythm a juste à se bien tenir et frémir avec soupirs pour nous faire jouir! Yeah! Les Paul and Mary Ford en sont vachly fiers; I'm positive where ever they are dans cet au-delà!
P.S. Les Paul qui ne l'oublions surtout pas fut l'ami et le mentor du vénérable Jeff Beck
Les Paul & Mary Ford - How High The Moon 1951... Les Paul qui ne l'oublions surtout pas fut l'ami et le mentor du vénérable Jeff Beck
Jeff beck & Imelda: Grammys 2010- Photo anonyme - en flagrant délit d'interprétation de How High the Moon
mistyblues- Messages : 3829
Date d'inscription : 24/09/2008
Redondance Messagère
Avis concis aux lecteurs-auditeurs en chaleur de bonheur: Je redondance le message ci-dessus de ma part; faut croire que je muris à l'effigie des cerises
Les Paul and Mary Ford
Jeff Beck
[/size]
Maestro
Jeff Beck Royal Albert Hall - 26/10/10 - Photo anonyme
Voilà pour nos assidus de lecteurs-auditeurs:
Jeff Beck Albert Hall 26th October 2010 - (Live; please soyons indulgents pour le son).
Jeff Beck - Royal Albert Hall 26.10.2010
Voilà ma préférée de jouissance musicale à moi ci-dessous...
How High the Moon une sinon la meilleure version jouée et chantée de ce chef-d'oeuvre; voilà l'interprétation d'Imelda !! Formidable! Undeniable this lady got such a beautiful voice and the wild and sweet exact rhythm with this jewel (How High the Moon) so damn swell! Pour Jeff alors tout est magically riffs et le rhythm a juste à se bien tenir et frémir avec soupirs pour nous faire jouir! Yeah! Les Paul and Mary Ford en sont vachly fiers; I'm positive where ever they are dans cet au-delà!
How High the Moon d'Imelda avec Jeff Beck et ses magic men en 2010!
Les Paul & Mary Ford - How High The Moon 1951... Les Paul qui ne l'oublions surtout pas fut l'ami et le mentor du vénérable Jeff Beck
Jeff beck & Imelda: Grammys 2010-- en flagrant délit d'interprétation de How High the Moon - Photo anonyme 2010
**************************************************************
Les Paul & Mary Ford - 1951 - How High the Moon
Interprètes 1951- Les Paul And Mary Ford
How High The Moon
Songwriters: HAMILTON, NANCY / LEWIS, MORGAN[
Benny Goodman's Music
Somewhere there's music
How faint the tune
Somewhere there's heaven
How high the moon
There is no moon above
When love is far away too
Till it comes true
That you love me as I love you
Somewhere there's music
How near, how far
Somewhere there's heaven
It's where you are
The darkest night would shine
If you would come to me soon
Until you will, how still my heart
How high the moon
[Guitar Solo]
Somewhere there's music
How faint the tune
Somewhere there's heaven
How high the moon
The darkest night would shine
If you would come to me soon
Until you will, how still my heart
How high the moon
Copyright here: tous droits réservés aux paroles accolées ci-dessous pour fin d'éducation musicale uniquement.
***********************************************
"Relis tes ratures et poursuis tes rêveries immatures note par note sans dessus dessous et frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie." (La Louve effrenée de belle musicalité).
Les Paul and Mary Ford
Jeff Beck
[/size]
Maestro
Jeff Beck Royal Albert Hall - 26/10/10 - Photo anonyme
Voilà pour nos assidus de lecteurs-auditeurs:
Jeff Beck Albert Hall 26th October 2010 - (Live; please soyons indulgents pour le son).
Jeff Beck - Royal Albert Hall 26.10.2010
Voilà ma préférée de jouissance musicale à moi ci-dessous...
How High the Moon une sinon la meilleure version jouée et chantée de ce chef-d'oeuvre; voilà l'interprétation d'Imelda !! Formidable! Undeniable this lady got such a beautiful voice and the wild and sweet exact rhythm with this jewel (How High the Moon) so damn swell! Pour Jeff alors tout est magically riffs et le rhythm a juste à se bien tenir et frémir avec soupirs pour nous faire jouir! Yeah! Les Paul and Mary Ford en sont vachly fiers; I'm positive where ever they are dans cet au-delà!
How High the Moon d'Imelda avec Jeff Beck et ses magic men en 2010!
Les Paul & Mary Ford - How High The Moon 1951... Les Paul qui ne l'oublions surtout pas fut l'ami et le mentor du vénérable Jeff Beck
Jeff beck & Imelda: Grammys 2010-- en flagrant délit d'interprétation de How High the Moon - Photo anonyme 2010
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Les Paul & Mary Ford - 1951 - How High the Moon
Interprètes 1951- Les Paul And Mary Ford
How High The Moon
Songwriters: HAMILTON, NANCY / LEWIS, MORGAN[
Benny Goodman's Music
Somewhere there's music
How faint the tune
Somewhere there's heaven
How high the moon
There is no moon above
When love is far away too
Till it comes true
That you love me as I love you
Somewhere there's music
How near, how far
Somewhere there's heaven
It's where you are
The darkest night would shine
If you would come to me soon
Until you will, how still my heart
How high the moon
[Guitar Solo]
Somewhere there's music
How faint the tune
Somewhere there's heaven
How high the moon
The darkest night would shine
If you would come to me soon
Until you will, how still my heart
How high the moon
Copyright here: tous droits réservés aux paroles accolées ci-dessous pour fin d'éducation musicale uniquement.
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"Relis tes ratures et poursuis tes rêveries immatures note par note sans dessus dessous et frotte-toi sur la gamme ahurie en oubliant d'épater la galerie." (La Louve effrenée de belle musicalité).
mistyblues- Messages : 3829
Date d'inscription : 24/09/2008
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